09/02/2015

Et si la 3e guerre mondiale était numérique ?

Les récents épisodes de cyber-attaques (Sony entre autres et la riposte sur la Corée du Nord) mettent au jour le risque que coure la Société actuelle en digitalisant à tout-va les rapports commerciaux comme non-commerciaux, les transactions, le stockage,…
Et ce qui est rapporté par les médias ne représente qu’une infime partie de ce qui se passe chaque jour.
Si, parallèlement au risque de terrorisme, se développait une véritable guerre numérique ?
(qui ne l’empêche pas, au demeurant, d’être aussi de religion…)
Comme en matière nucléaire, une attaque engendrerait une/des ripostes proportionnées ou…disproportionnées .
Les conséquences seraient manifestement désastreuses !
A-t-on pris en compte ce risque ? Existe-t-il des plans de sauvegarde à grande échelle ?
Comment faire repartir l’économie (mais pas que…) une fois toutes les données perdues, les ordinateurs infestés, les transactions inopérantes,…

Aujourd’hui, toutes les entreprise misent sur le numérique sans vraiment en maîtriser la fiabilité, et souvent en faisant l’impasse sur une possible crise. On voit bien ce qui se passe à la Sécu lorsque les médecins menacent de stopper l’utilisation de la télétransmission par la carte Vitale. Il suffit même aujourd’hui d’adresser une simple feuille de soins « papier » pour s’apercevoir qu’il n’y a plus d’effectifs pour la traiter.
Peut-être devrait-on réfléchir à deux fois avant d’abandonner certains systèmes ou de remettre en cause les réseaux physiques…
De là à investir dans les entreprise de la vieille économie (machines à écrire, carnets à souches, carbone,…) J pourquoi pas ?

 

09:45 Publié dans BIG DATA | Lien permanent | Commentaires (0)

28/01/2015

Presse pro, qu’es-tu devenue ?

La cession de La Lettre de l’Assurance à News Assurances marque assurément la fin d’une époque.

Presse.jpgSouvent critiquée pour son ton décalé, voire peu châtié, elle représentait néanmoins une source d’information originale et, il faut le dire, unique en son genre. Les premières éditions de la nouvelle version se montrent plus aseptisées et perdent beaucoup de leur saveur.
Dommage, car il ne faut pas compter sur le presse d’assurance pour combler le manque. La plupart des lecteurs s’accordent sur le peu d’intérêt que représente l’Argus, et cela depuis des années (en gros, le départ de Michel Auburtin !).
La Tribune de l’Assurance vient à peine de perdre son rédac chef (parti chez AXA) que le contenu s’en trouve affaibli.
Quant à News Assurances, malgré des efforts en termes d’outils technologiques, il reste le 20 Minutes de l’assurance !
Où donc  trouver l’information vivante, de qualité et nécessaire à l’exercice du métier d’assureur ?
La question est posée… Certes, l’information ne manque pas au travers de la toile ; mais sa fiabilité impose de la traiter avec circonspection.

23/01/2015

Vieillir, une ardente obligation

C’est vrai, cette pensée est une des plus pénibles : vieillir.
Mick.jpg


Comme le disait le Général, la vieillesse est un naufrage.
On peut alors préférer le conseil chanté par les Who dans « My Generation » : Hope I die Before Get Old !
Mais une chose est sure, chaque période de 12 mois, on prend  an de plus ; et même si l’on nous dit que pour chaque année, on gagne 3 mois de plus, c’est dur à avaler.
Alors, tant qu’à faire, essayons de vieillir bien (comme on dit !) ; de ne pas se transformer en vieux cons (comme ceux que l’on fustigeait autrefois).
Pour cela, évidemment, la santé est l’élément essentiel. La maintenir au max le plus longtemps possible…
Et après ?
Après, il faut envisager tous les moyens pour adoucir cette descente progressive. Les technologies nous laissent entrevoir la possibilité de rester autonome. Reste le financement !
Et dans tout ça, quel rôle peuvent jouer le
s assureurs ?