19/12/2019

Imaginer l’assurance de demain : acte 2 le 28 janvier 2020

Le Think Tank Demain l’Assurance s’est fixé pour objectif d’imaginer le rôle sociétal et les missions de l’Assurance au cours des prochaines décennies. 

La 1ère étape a consisté, le 28 mai dernier, à analyser des évolutions sociétales récentes et le décryptage des tendances qui feront les marchés et les consommateurs de demain : transition énergétique, digitalisation, environnement et changement climatique, cyber-risques et IA, nouveaux comportement et croissance des besoins de protection …
L’Atelier Conférence du 28 janvier prochain constituera l’Acte 2 des réflexions et permettra d’aborder ce que la profession de l’Assurance peut proposer dans le cadre des besoins de demain et quels modèles de relation avec le client prévaudront.
Cet après-midi sera organisé en 2 parties :

  • Présentation des réflexions du Think Tank par ses membres,
  • Table Ronde avec des représentants du monde de l’Assurance.

 Avec la participation, notamment, de :

  • Olivier BLANDIN, Président- ACCRMA
  • Jean-Pierre DANIEL, Président- VIGIE
  • Natacha MINASSO, Directrice Partenariats – CHUBB
  • François LAURENT – Consumer Insight
  • Christian PARMENTIER, Président – DEMAIN L’ASSURANCE
  • Philippe PICARD, Directeur Relations Adhérents & Pilotage Projets – MGEN
  • Christophe ROUGON, Responsable Relation Client – MACIF
  • Denis THAEDER, Chief Mission Officer – LA PARISIENNE
  • Clôture par Alexandre ANDRE, Directeur Général - LA FABRIQUE D'ASSURANCE

Lieu : Tour ALLIANZ ONE , 1 Cours Michelet – Paris la Défense
Date : 28 janvier 2020, de 14h30 à 17h00.


Participation gratuite, sur invitation : pour assister à la conférence, il suffit d’envoyer vos coordonnées par mail à : contact@demainlassurance.org.

 

08/06/2015

Comparaison n’est pas raison dit-on. Chiche ?

    

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 Les clients sont de plus en plus nombreux à solliciter les comparateurs pour trouver une meilleure offre et, surtout, pour essayer de faire des économies. Alors que le climat de crise perdure et que les consommateurs sont conduits à des arbitrages budgétaires parfois douloureux comme pour la santé, ils n’hésitent pas à dépenser des centaines d’euros pour devenir propriétaires de ces nouveaux objets technologiques devenus semblent-ils indispensables. C’est sans doute parce que pour eux l’intérêt de ces outils est évident. Alors que celui de l’Assurance est toujours sujet au doute, notamment en matière de prix car comment l’assuré lambda peut-il comprendre les écarts gigantesques de prix pour une même assurance ? Cela ne fait que conforter le sentiment d’arnaque.
Il est alors normal, surtout quand la règlementation va lui faciliter la tâche, de rechercher un « meilleur plan ». L’idéal serait qu’il puisse comparer en connaissance de cause ; hors il n’a pas la culture juridique pour le faire et les offres, complexifiées à l’envi, le lui interdisent.
Le comparateur est donc Le moyen de faire assez simplement un appel d’offre. Certes, tous les acteurs ne sont pas (encore ?) sur les comparateurs ; certains, victimes du syndrome « UAP n°1 » qu’ils ont avalée, pensent encore pouvoir faire cavaliers seuls en n’y étant pas présent, pire, en proposant leur propre comparateur (quelle impartialité ???).
Mais les comparateurs évoluent, approfondissent le champ de l’étude ; de nouvelles formes sont lancées (affinitaires),…
Certes, on nous a dit et répété que la France n’est pas la Grande Bretagne et que les motifs pour qu’ils ne se développent pas autant sont très nombreux.
Peut-être trop nombreux car cela me rappelle un conseil avisé de mon épouse à  ceux qui tentent de justifier une faute par de multiples raisons : une suffit, au-delà ce n’est plus crédible.

Ce thème a fait l'objet d'échanges au LAB le 23 juin 2015

23/01/2015

Vieillir, une ardente obligation

C’est vrai, cette pensée est une des plus pénibles : vieillir.
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Comme le disait le Général, la vieillesse est un naufrage.
On peut alors préférer le conseil chanté par les Who dans « My Generation » : Hope I die Before Get Old !
Mais une chose est sure, chaque période de 12 mois, on prend  an de plus ; et même si l’on nous dit que pour chaque année, on gagne 3 mois de plus, c’est dur à avaler.
Alors, tant qu’à faire, essayons de vieillir bien (comme on dit !) ; de ne pas se transformer en vieux cons (comme ceux que l’on fustigeait autrefois).
Pour cela, évidemment, la santé est l’élément essentiel. La maintenir au max le plus longtemps possible…
Et après ?
Après, il faut envisager tous les moyens pour adoucir cette descente progressive. Les technologies nous laissent entrevoir la possibilité de rester autonome. Reste le financement !
Et dans tout ça, quel rôle peuvent jouer le
s assureurs ?